Superbe presse de relieur à percution lyonnaise du XIXe, hauteur 2,29m largeur 58 cm, longueur 105 cm, dimention entre les barres 82 cm Même l'école Estienne à Paris n'a pas une aussi belle presse de relieur à percution comme celle-ci qui est dans un état de marche parfait. Superbe pièce de musée ! 3500 euros |
Référence : FR AD 69/108 J
Intitulé : fonds darchives de lentreprise Jurine, construction de machines pour les industries
des papiers, cartons et arts graphiques.
Dates : 1878-1977.
Niveau de description : fonds.
Importance matérielle et support de l'unité de description : le fonds représente 1 mètre linéaire.
Il est constitué en majorité de documents papiers mais comporte également un certain nombre
de photographies. Sy ajoute également un objet (plaque commerciale).
Contexte
Nom du producteur : Entreprise Jurine.
Histoire de lentreprise
Lentreprise Jurine avait pour activité la construction de machines pour les industries
des papiers et cartons ainsi que des arts graphiques. Elle a également eu des activités annexes
nombreuses (machines pour le travail de la pierre, pour la construction des valises, pour les
fabricants de chaussures, chapeliers, etc.) mais elle sest progressivement spécialisée dans la
construction de machines destinées au façonnage des papiers et cartons ondulés. Elle était sise
à Villeurbanne (rue de la Cité puis rue Édouard-Aynard) et a également eu un bureau à Paris
(rue des Boulet, Paris XIe).
Lentreprise Jurine est issue de la Maison Tissieux et Dumais et J.-F. Dumais, fondée
en 1840. En 1878, MM. Jurine et Chanavat, ouvriers de lentreprise Tissieux et Dumais et J.-F.
Dumais depuis environ 20 ans, prirent la tête de lentreprise et fondèrent ainsi lentreprise
« Jurine et Chanavat ». Par la suite, lentreprise prit divers noms (« A. Jurine », « A. Jurine et
fils Ainé » puis « Joseph Jurine ») et devint une société anonyme en 1920 sous le nom de
« Établissements Jurine ». En 1962, une scission permit la création dune société immobilière
et dune société dexploitation dite « Société Jurine », dirigée par M. Raymond Sclave. En
1975, alors que la situation financière de lentreprise était fragile, ce dernier céda ses actions à
M. Claude Pierron : cet ancien confectionneur devint ainsi le nouveau président-directeur
général de lentreprise. La société devint ensuite la société « Jurine Carrel » et disparut en
1978.
Historique de la conservation : le fonds Jurine a été conservé au domicile de Monsieur Claude
Pierron, ancien PDG de lentreprise, de 1978 à 1992.
Modalité dentrée : don par Monsieur Claude Pierron le 18 juin 1992
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