après les gravures anciennes diverses sur l'Ardèche, des cartes de toutes les époques et le fameux bois gravé (1931) de la procession du Vendredi Saint enchaîné à Sartène en Corse ! (Voir aussi de Jean Chièze, "le Calvaire à Corté", cliquez ici) Vous pouvez évidemment en acheter mais chacune est unique* ). * nous ne les avons pas en double |
JEAN CHIEZE. Gravure originale tirée sur chine, légendée, signée par l'auteur.
PROCESSION DU VENDREDI SAINT "CATENACIO" (Enchaîné) (Par erreur en Corse il faut écrire "Catenacciu", ce qui veut dire enchaîné !)
SARTENE 1932
26 cm X 21 cm
feuille 41 x29 cm
vendu
Le "Catenacciu" est une tradition corse principalement Sartenaise qui se déroule lors de la procession du Vendredi saint. Le "Catenacciu" effectue un chemin de croix à travers le village qui symbolise la montée du Christ au calvaire.La tradition de cette plus ancienne procession de Corse remonte au XIIIe siècle, instaurée alors par des franciscains toscans. Elle s'est poursuivie au XIVe et XVe sous l'influence du royaume d'Aragon et des pratiques religieuses pénitentielles, puis aux XVIe avec le développement des confréries religieuses.Nul ne doit savoir qui se dissimule sous la cagoule du porte-croix. Seul le curé de la paroisse connaît son identité. Le pénitent est vêtu d'une aube écarlate et d'une cagoule rouge.Outre la croix de bois de 25 kg, il porte des chaînes de 15 kilos attachées aux chevilles. Sur un parcours de 2 km, le "Catenacciu" doit tomber trois fois sur son chemin, à l'image du Christ, avant d'être symboliquement crucifié.Près de 3 000 personnes assure chaque année à Sartène à cette cérémonie qui marque la passion du Christ avant sa résurrection, le dimanche de Pâques.
Jean André Chièze, né le 18 juillet 1898 à Valence (Drôme), mort le 2 février 1975 à Guilherand-Granges (Ardèche)1, est un graveur sur bois français. Jean Chièze passe son adolescence à Lyon et découvre, grâce à son maître Henri Focillon, les xylographies primitives qui auront une grande influence sur son uvre. Devenu professeur de dessin, il enseigne dans plusieurs lycées avant de terminer sa carrière à Saint-Cloud. Cette pérégrination à travers la France lui permet une confrontation renouvelée avec des régions à forte tradition populaire comme la Corse, la Provence, la Bretagne, le Vivarais, etc., dont on retrouve trace dans le choix des uvres qu'il illustre. Peintre, écrivain et lithographe, c'est surtout avec la gravure sur bois que son art s'exprime le mieux. Art difficile qui demande une grande maîtrise technique dans l'incision au canif, à la gouge ou au burin, ce type de gravure n'admettant ni l'erreur ni le retour en arrière. À cause de ces difficultés techniques, la gravure sur bois a perdu de son importance et Jean Chièze est considéré aujourd'hui comme un de ses derniers grands représentants. À partir de 1970, il retourne vivre aux Granges au bord du Rhône, le pays de sa jeunesse ; c'est là qu'il finira sa vie.
Voir aussi d'autres gravures de Jean Chièze : Cliquez ici : gravure de la nativité
et aussi gravure : Calcaire à Corté (Corse) Cliquez ici
Oberti : N° 64 page 90. Oberti date la gravure de 1931 alors que Chièze a écrit 1932 sur la planche au crayon. Il la nomme "Le Catenacciu" l'enchaîné ou Procession du Vendredi Saint à Sartène. Tirage 50 ex. Il signale 1 ex sur japon bible blanc. Notre exemplaire non numéroté semble être un chine. C'est peut-être cet exemplaire unique. Exceptionnel.
BOURG SAINT ANDEOL
Monument Mythriatique à Bourg Saint Andeol
Bence, del.. Melle Pillement et Gossard.
Vers 1800. Cette grande gravure (44 X 30cm) porte
la légende "Monument Mythriatique à Bourg Saint
Andéol". Cette gravure fut souvent publiée,
notamment en carte postale des éditions Laurent Tabac,
Fortunat Tabac... Elle est signée "Bence del, Melle
Pillementet Gossard sculp". Le nom de Pillement est connu.Le
peintre graveur lyonnais Jean Baptiste Pillement(1728 -1808) est
réputé pour ses paysages.Il eut un fils... En fait
c'est une véritable dynastie de graveurs avec Victor (1767
-1814) ou encore "Ad" et "E" qui vécurent
à cheval sur le XIX e et le XX e siècle. Le style
du paysage bourguésan fait penser à cette école.
Quand au dessinateur, Bence Jacques Martin Sylvestre (1770 - 18..),
il est connu par une dizaine de dessins provenants de la collection
d'Hippolyte Destailleur (1822 - 1893) et conservés à
la Bibliothèque Nationale: (arc de Cavaillon, fontaine
antique de Maguelonne, théâtre antique de Vienne,
Gêne ou Milan daté de 1801).
Planche 52 cm x 38 cm. Gravure : 44 cm x 30. Superbe cuivre gravé en parfait état
vendue
Le Bas-relief de Mithra à Bourg-Saint-Andéol
Les eaux de la fontaine de Tourne s'échappent du pied
d'une paroi rocheuse à pic sur laquelle est sculpté
un bas-relief d'époque romaine de 1,15 m de hauteur sur
1,25 m de large qui représente le dieu Mithra. La scène
est assez difficilement lisible du fait de l'érosion, mais
la connaissance que l'on a d'autres de ses représentations
aide à la reconstituer. Mithra se présente sous
la forme d'un jeune homme vêtu d'une tunique et d'un manteau
court et coiffé d'un bonnet phrygien. Du genou, il presse
et tient assujetti un taureau dont la queue se termine par trois
épis de blé ; de la main gauche, il lui tient le
mufle relevé, tandis que de la droite il le frappe d'un
poignard. Sous le taureau rampe un grand serpent. Cette partie
principale de la composition est accompagnée de plusieurs
figures allégoriques. Un chien s'élance vers le
cou de la victime comme pour lécher le sang qui en découle.
Au-dessous du taureau un énorme scorpion cherche à
le piquer. Dans le haut et au milieu du tableau, un corbeau est
prêt à fondre sur la victime. Aux angles supérieurs
sont deux figures, l'une à droite, entourée de onze
rayons, représente le soleil ; l'autre à gauche,
surmontée d'un croissant, figure la lune.
À l'angle inférieur gauche du bas-relief un cartouche
comporte une inscription latine qui n'est plus guère lisible,
qui a donné lieu à diverses interprétations
avant celle que Roger Lauxerois a proposée en 1972, que
l'on doit pouvoir considérer comme définitive :
(R. Lauxerois, « La dédicace du bas-relief mithriaque
du Bourg-Saint-Andéol », Revue du Vivarais, n°
631, 1972.)
« Je propose la restitution :
Num[in]ib(us) Au[g]ustor(um) / Deum Inuictum /
T(itus) Aur(elius) [...?] d(e) s(ua) p(ecunia)
f(ecit).
avec la traductiion suivante :
Aux numina des Augustes. Titus Aurelius... a fait faire (cette
image du) dieu invincible à ses propres frais ».
Roger Lauxerois pense pouvoir dater cette uvre de la fin du iie ou du début du iiie siècle ap. J.-C. Elle est classée Monument historique depuis 1927.
De nombreux monuments relatifs au culte de Mithra se trouvent dans le monde, mais on n'en compte que cinq en France, parmi lesquels celui de Bourg-Saint-Andéol occupe une place particulière, car c'est le seul qui soit sculpté sur la paroi d'un rocher, sur le lieu même du culte. Le musée du Louvre en possède un très bel exemplaire de grandes dimensions (2,54 m x 2,75 m) sculpté dans le marbre.
LE CULTE DE MITHRA
Mithra est un dieu indo-iranien dont lexistence est avérée
dès le xive siècle av. J.-C. Divinité solaire,
il est garant de la victoire de la lumière sur les ténèbres,
de la vie sur la mort ; dans sa forme gréco-romaine, Mithra
apparaît comme un cosmocrator (responsable du cosmos), garant
du mouvement des astres et en premier lieu du soleil. La vie de
Mithra est une succession dexploits : ayant pris en charge
le cosmos dès sa naissance, il fait, dans le courant de
sa vie, apparaître une source fécondante grâce
à un tir à larc dans un rocher. Puis il capture
un taureau qui détient des éléments vivifiants
et légorge. Le sang du taureau irrigue la terre et
régénère la vie dans lunivers. Mithra
vit alors son apothéose : alliance avec le soleil, repas
pris en commun et envol sur le char solaire.
Daprès Plutarque, le culte de Mithra est connu des
Romains lors des expéditions de Pompée en Asie Mineure
au ier siècle av. J.-C. Cette religion à mystères,
exigeant une initiation, des vertus morales, assurant le salut
dans lau-delà contrairement à la religion
romaine traditionnelle, développant une réelle fraternité
entres ses adeptes, réconforte et connaît un grand
succès dans lempire romain aux iie et iiie siècles
ap. J.-C.
Sa diffusion est favorisée par les déplacements
des armées romaines dun bout à lautre
de lempire, le développement des échanges
commerciaux et la faveur de plusieurs empereurs dont Néron
qui se fait initier au culte de Mithra.
Ce culte, réservé aux hommes, séduit surtout
les soldats, car Mithra est aussi le protecteur des défenseurs
du territoire, mais également tous ceux qui souffrent et
ne trouvent aucun réconfort dans la religion traditionnelle,
les esclaves et les affranchis. Les lieux de culte sont surtout
sur le limes (frontières de lempire), dans les ports
et autres centres de grand commerce.
Comme tous les cultes païens, celui de Mithra est interdit
par lempereur Théodose en 391-392 ap. J.-C.
Françoise Bousquet-Ledavre
Sources
- Le Glay (Marcel), La religion romaine, Armand Colin 1971
Carte originale et rare du département de l'Ardèche;
Coloriée à l'époque.
Cette gravure est extraite d'un atlas de 1802 (AN X du calendrier
républicain), par Pierre-Gilles Chanlaire et P.C. Herbin.
Cet ouvrage comprenait 98 cartes dont les départements
français créés sur les anciennes provinces
des Pays-Bas autrichiens et ceux du Léman et du Mont-Blanc...
Exceptionnel et bouleversant témoignage du début
du XIXeme siècle, au tout début de l'organisation
administrative de la France. En cette année 1802 Victor
Hugo voyait le jour, la Légion d'Honneur était créée
par Napoléon, Napoléon devenait Consul à
Vie, le Parachute était inventé ...
Cette carte a été rehaussée de couleurs manuellement
à l'époque de la publication en 1802. De style assez
simple son intérêt était surtout administrative.
Aucunes fioritures, uniquement les informations essentielles pour
appréhender ce territoire en plein bouleversement : Sont
indiqués la préfecture et tribunal, les sous-préfectures
et tribunal, les chefs-lieux de cantons ... Échelle en
Toises et en mètres.
Très bon état d'usage pour une carte de cette importance
historique.
Pierre-Gilles Chanlaire est un géographe français,
né à Wassy le 21 juin1758 et mort à Paris
le 8 mars 1817. Il était attaché au bureau topographique
du cadastre. Marié le 26 avril 1787 avec Angélique-Émilie
Vermeil (1769-1838) qui lui donne deux enfants. On lui doit plusieurs
travaux recommandables de statistique et de géographie.
Parfaite condition avec annotations anciennes à laplume dans les marges : " Viviers dans l'arrondissement de Privas est le siège de l'évêque suffrageant d'Avignon"....
Dimension planche très grande de marge :29 cm x 23 cm
Dimension gravure : 17,5 cm x 20,5 cm
75 euros
Carte originale et rare du département de DROME
Contours coloriée à l'époque.
Cette gravure est extraite d'un atlas de 1802 (AN X du calendrier
républicain), par Pierre-Gilles Chanlaire et P.C. Herbin.
Cet ouvrage comprenait 98 cartes dont les départements
français créés sur les anciennes provinces
des Pays-Bas autrichiens et ceux du Léman et du Mont-Blanc...
Exceptionnel et bouleversant témoignage du début
du XIXeme siècle, au tout début de l'organisation
administrative de la France. En cette année 1802 Victor
Hugo voyait le jour, la Légion d'Honneur était créée
par Napoléon, Napoléon devenait Consul à
Vie, le Parachute était inventé ...
Cette carte a été rehaussée de couleurs manuellement
à l'époque de la publication en 1802. De style assez
simple son intérêt était surtout administrative.
Aucunes fioritures, uniquement les informations essentielles pour
appréhender ce territoire en plein bouleversement : Sont
indiqués la préfecture et tribunal, les sous-préfectures
et tribunal, les chefs-lieux de cantons ... Échelle en
Toises et en mètres.
Très bon état d'usage pour une carte de cette importance
historique.
Pierre-Gilles Chanlaire est un géographe français,
né à Wassy le 21 juin1758 et mort à Paris
le 8 mars 1817. Il était attaché au bureau topographique
du cadastre. Marié le 26 avril 1787 avec Angélique-Émilie
Vermeil (1769-1838) qui lui donne deux enfants. On lui doit plusieurs
travaux recommandables de statistique et de géographie.
Parfaite condition avec annotations anciennes à laplume dans les marges : " Viviers dans l'arrondissement de Privas est le siège de l'évêque suffrageant d'Avignon"....
Dimension planche très grande de marge :28 CM x 21, 5 cm
Dimension gravure : 17,5 cm x 20,5 cm
60 euros
VALENCE MAISON DES TETES 1834 EN COULEURS TRES GRAND FORMAT
59 CM x 42 CM
MAISON GOTHIQUE A VALENCE (Drôme)
CHAPUIS del 1834 , A CHAMOUIN sculpteur
Superbe cuivre gravé de LA MAISON DES TETES réhaussé en couleur
Très grande dimension
Planche : 59 CM x 42 CM
Gravure : 37 x 28 cm
195 euros
Construite au début du XVIe siècle par Antoine De Dorne, Professeur à l'Université et Consul de Valence, cette maison marque le passage du style gothique flamboyant à celui de la Renaissance. Elle doit son nom à la présence de nombreuses têtes sculptées.
En façade, les Vents, la Fortune, le Temps et des figures emblématiques comme la Théologie, le Droit, la Médecine sont représentés. Des bustes d'Empereurs romains ornent le corridor et sous la galerie de la cour intérieure, les Pères de l'église sont figurés dans des médaillons.Il abrite aujourdhui le service darchitecture et dinterprétation du patrimoine de Valence et le musée militaire de Valence Ville, qui expose des documents sur la vie de Napoléon à Valence.
La maison des Têtes de Valence, située au 57 Grande Rue (à proximité de la place des Clercs) dans le Vieux Valence, est un fleuron de l'architecture du début du XVIe siècle. La façade de cet ancien hôtel particulier, qui abrite le service municipal Valence Ville d'Art et d'Histoire1, offre aux passants le foisonnement de son décor sculpté. Cette maison, marquant le passage du style gothique flamboyant au style renaissance, doit son nom aux nombreuses têtes qui ornent sa façade. Des sculptures symbolisent les vents, la Fortune, le Temps, ou encore la théologie, le droit ou la médecine tandis que le corridor est orné de bustes d'empereurs romains.
De très nombreuses gravures ont été faites ensuite dans de petits formats sont la fameuse planche de Debelle pour l'Album du Dauphiné que nous reproduisons ci-dessous
Gravure de PRIVAS
Format 18,7 x 28,6 cm - Grandeur de la feuille :37,8 x 25,5 cm
Attention il existe des planche de tassin beaucoup plus petite. Celle-ci est assez remarquable par sa grandeur.
Quelques petites fentes dans les marges. Pliure au cente. Les 2 planches foemant la gravure ont été collées. Infime réparation
Bon état de conservation,
vendue
gouvernement de PRIVAS
planche 34 x 31 cm
gravure : 28,5 cm x 19 cm (2 pages du livre ancien collées avec petit pli au centre)
Rare gravure de la ville de Valence Drome Rhône Alpes Gravure sur cuivre document historique original d'époque année 1655 issue du célèbre ouvrage Topographia Gallia de Merian.
65 EUROS
Topographia Galliae, édité entre 1655 et 1661 est un livre écrit en allemand illustré de nombreuses planches qui décrit la France d'Ancien régime. Il est édité par Kaspar Merian et l'auteur est Martin Zeiller à Francfort.
Topographia Galliae dat ist Een Algemeene en naeukeurige Lant
en Plaets-beschrijvinghe van het Machtige Koninckrijk Vranckryck.
MERIAN (Matthaeus), ZEILLER (Martin). Edité à Amsterdam,
Joost Broersz and Caspar Merian, 1660-1663. 1660, 1663
Amsterdam, Joost Broersz and Caspar Merian, 1660-1663. 1660, 1663. 4 vol. in-folio (325 x 215 mm.) de: I. [4] ff. (t.gr., t., intro.), 374 pp., [4] ff. (table); II.[2] ff. (t. gr., t.), 184 pp., [2] ff. (table); III. , [2] ff. (t. gr., t.), 420 pp., [3] ff. (table); IV. .[2] ff. (t. gr., t.), 473 pp., [7] pp. (table) et 325 planches gravées de vues et plans de villes et cartes, dont 20 cartes ( 2 dépliantes et 18 sur double-page), 260 vues et plans de villes (14 dépliantes et 210 sur double-page). Première édition en néerlandais du citybook le plus complet du XVIIe siècle sur la France, édité en allemand, en latin et en néerlandais. Apparemment plus rare que l'édition allemande de 1655-1661. L'ensemble des 4 volumes comporte 325 planches gravées de vues et plans de villes et cartes, dont 20 cartes, ainsi que 260 vues et plans de villes.
Place Moontgolfier. Liste de M.M. les souscripteurs dans cette ville par ordre d'inscription
Vues d'Annonay par E.F. Imbard.
Lithographie de C. Motte
Vers 1830
gravure 15 x 24 cm
Feuille 47, 5 cm x30, 5cm
Papier légèrement roussi. Bords fendillés avec petits manques avec une mouillur dans le haut et au bas mais aucune atteinte à la gravure. Tache blanche sur un nom. Le tout très lisible.
On retrouve toutes les personnalités d'Annonay soit environ 150 noms. On peut y lire aussi l'abbé Miolart de Lyon, un A. Champanhet d'Aubenas, un Gardon de Vidalon, Un Forel de Morges de Suisse. Les 3 premiers noms : Duret, Béchetoile, Montgolfier...
Très rare
145 euros
Annonay (vers 1830)
Vue d'ANNONAY prise de la Terrasse de Mr Soras à la Réclusière
Lithographie
Litho de C. Motte (Lithographe, imprimeur lithographe, dessinateur, aquafortiste et éditeur d'estampes ; lithographe de Monseigneur le duc d'Orléans (1824). - Breveté imprimeur lithographe le 31 oct. 1817. Expose au Salon entre 1827 et 1831. Décédé en 1836. Sa fille Céleste-Aimée-Ursule Motte, épouse Devéria, est brevetée imprimeur lithographe en sa succession le 14 déc. 1837)
36,5 x 20 cm
feuille : 48 cm x 32,5 cm
E.F. Imbard graveur
Bord salie et un peu poussièreux. Pâles rousseurs
125 euros
Annonay (vers 1830)
Vue d'ANNONAY prise de la Terrasse de la maison BLACHIER
Lithographie
Litho de C. Motte (Lithographe, imprimeur lithographe, dessinateur, aquafortiste et éditeur d'estampes ; lithographe de Monseigneur le duc d'Orléans (1824). - Breveté imprimeur lithographe le 31 oct. 1817. Expose au Salon entre 1827 et 1831. Décédé en 1836. Sa fille Céleste-Aimée-Ursule Motte, épouse Devéria, est brevetée imprimeur lithographe en sa succession le 14 déc. 1837)
36,5 x 20 cm
feuille : 39 cm x 27,5 cm
E.F. Imbard graveur
Bords de la feuille coupés attivement mais gravure parfaite. Pâles rousseurs
95 euros
Gravure originale en taille-douce sur acier dessinée par Buttura. Aquarellée à la main. 1835
11,5 cm x 8 cm
45 euros
Annonay (vers 1830)
Vue du Pont de Cance à Annonay. Lithographie
Litho de C. Motte (Lithographe, imprimeur lithographe, dessinateur, aquafortiste et éditeur d'estampes ; lithographe de Monseigneur le duc d'Orléans (1824). - Breveté imprimeur lithographe le 31 oct. 1817. Expose au Salon entre 1827 et 1831. Décédé en 1836. Sa fille Céleste-Aimée-Ursule Motte, épouse Devéria, est brevetée imprimeur lithographe en sa succession le 14 déc. 1837)
22,8 x 17,3 cm
feuille : 47 cm x 30,6 cm
E.F. Imbard graveur
125 euros
Annonay (vers 1830)
Vue des rochers saint Denis à Annonay. Lithographie
Lithographe, dessinateur, aquafortiste et éditeur d'estampes ; lithographe de Monseigneur le duc d'Orléans (1824). - Breveté imprimeur lithographe le 31 oct. 1817. Expose au Salon entre 1827 et 1831. Décédé en 1836. Sa fille Céleste-Aimée-Ursule Motte, épouse Devéria, est brevetée imprimeur lithographe en sa succession le 14 déc. 1837)
28, 3 cm x 20,5 cm
feuille : 39 x 27,5 cm
E.F. Imbard graveur
Papier légèrement roussi
95 euros
Annonay (vers 1830)
Vue du Pont de DEUME à Annonay
Litho de C. Motte (Lithographe, imprimeur lithographe, dessinateur, aquafortiste et éditeur d'estampes ; lithographe de Monseigneur le duc d'Orléans (1824). - Breveté imprimeur lithographe le 31 oct. 1817. Expose au Salon entre 1827 et 1831. Décédé en 1836. Sa fille Céleste-Aimée-Ursule Motte, épouse Devéria, est brevetée imprimeur lithographe en sa succession le 14 déc. 1837)
24 cm x 15,5 cm
feuille :47 cm x 30,6 cm (coins et bords fendus avec petites pertes mais très grand de marge. La gravure est parfaite)
Quelques pâles rousseurs
E.F. Imbard graveur
95 euros
Annonay
Vue d'Annonay prise de la route de Tournon
Galerie de l'annonéen. Echo de l'Ardèche. 1842
Lithographie de H. Brunet. Dessin de Fonville
Lithographie en Noir et blanc. 27 cm x 16,7 cm
planche : 32 x 24,5 cm
rare
95 euros
Château de Crussol
Chateau De Crussol (Drome), 1860.
Victor Petit (1817-1874).
(Architecture Pittoresque ou Monuments des xveme. Et xvieme. Siecles: Chateaux De France des XV et XVI Siecles: Planche. 30)
22,7 cm x 14 cm (feuille 36 cm x 27,5 cm)
Lithographie en 2 tons
vendu
Gerbier (Le Mont Gerbier de Joncs)
"Le Mont Gerbier et les sources de la Loire"
Gravure sur acier d'époque (1856). Tirage sur papier sur papier blanc. Gravure et dessin par MM. Rouargue Frères. Imprimerie de Dion, 32 Rue Hautefeuille à Paris Gravure titrée : LE MONT GERBIER et la source de la Loire
Dimensions de la gravure : 14,8 x 10 cm environ. Dimensions de la feuille support : 33 x 25,5 cm Excellent état de conservation. Papier blanc sans rousseurs. Très belle estampe originale. Sous marie-louise papier.
vendu
Montbrun
Gravure extraite du fameux : Baron Isidore Justin TAYLOR (1789-1879) et Charles NODIER (1780-1844) "VOYAGES PITTORESQUES ET ROMANTIQUES DANS L'ANCIENNE FRANCE
LANGUEDOC" Paris, Imprimerie de Firmin Didot Frères, 1833-1837
Ouvrage en 4 volumes :
Tome I, partie I (Toulouse, Albi, Environs d'Albi), 1833
Vignette de titre par Durand et lithographiée par Fragonard,
Faux titre et Frontispice de Chenavard et lithographiés
par Fragonard, et 104 lithographies sur Chine appliqué
dessinées par Signol, Dauzats, Taylor, Chapuy, Adam, Joly
Courtin, Bouton, Blouet, Renoux, Alaux, Villeneuve, Jaime ; et
lithographiées par Weber, Danjoy, Mackenzie, Léger,
Massé, Bulton, Dumouza, Olivier, Villemin, Gué,
Mayer, Harding.
Chapitre "Toulouse" : encadrements de Chenavard et lithographiés
par Fragonard, Alaux, Courtin, Ouvrié.
Chapitre "Albi" : encadrements de Fragonard, Léger,
Gosse et Courtin avec des médailles de Dauzats. Vignette
de sainte Cécile dessinée par Bouterweck et lithographiée
par Weber, encadrée par Alaux.
Chapitre "Environs d'Albi" : encadrements par Dauzats,
Gigoux, Fousseroux, Gué, Fries, Bonhommé, Fragonard.
Vignettes par Deroy, Villeneuve, Boys, Taylor, Weber, Massé,
Foussereau.
Nombreuses rousseurs.
Tome I, partie II (Abbaye de Moissac, Roc-Amadour, Cahors,
Environs de Cahors, Souillac et Conques, Rhodez), 1834
Vignette de titre par Challamel et lithographiée par Frères,
et 111 lithographies sur Chine appliqué dessinées
par Taylor, Chapuy, Dauzats, Lenoir, Guiaud, Bichebois, Sabatier,
Fragonard, Boys, Haghe, Danjoie, Villeneuve, Ouvrié, Lasalle,
Mayer, Grille de Beuzelin, Bulton, Bachelier, Jorand, Gale, Adam,
Courtin, Turpin de Crissé, Walter, Barnard, Leblanc, Brascassat,
Hubert, Harding, Joly ; et lithographiées pour certaines
par Fowler, Léger, Monthelier, Dumouza, Challamel, de Laplante,
Tirpenne, Alaux.
Chapitre "Abbaye de Moissac" : encadrements et vignette
par Nanteuil.
Chapitre "Roc-Amadour" : encadrements par Fragonard,
Fries, Massé. Vignettes par Dauzats.
Chapitre "Cahors" : encadrements par Fragonard, Foussereau,
Perlet, Massé, Fies, Dauzats, et lithographiés par
Massé pour certains.
Chapitre "Environs de Cahors" : encadrements par Jorand,
Fragonard, Fries. Vignette par Gutaud.
Chapitre "Souillac et Conques" : encadrements par Viollet-le-Duc,
Fragonard, et lithographiés par Asselineau, Blanchard pour
certains.
Chapitre "Rhodez" : encadrements par Fries, Fragonard,
Perlet, Boys. Vignettes par Villeneuve, Bichebois, Weber, David,
Perlet, Gué, Boys.
Nombreuses rousseurs.
Tome II, partie I (Carcassonne, Castelnaudary, Narbonne, Roussillon,
Alet, Mirepoix, Pamiers, Foix, Muret, Valcabrère, Saint-Bertrand-de-Comminges,
Pyrénées), 1835
Vignette de titre par Chenavard et lithographié par Challamel,
Faux titre par Chenavard, et 165 lithographies dessinées
par Haghe, Taylor, Villeneuve, Walton, Harding, Mackenzie, Chapuy,
Barnard, Dauzats, Arris, Deroy, Ouvrié, Raynal, Hostein,
Adam, Gué, Jaubert de Passa, Léveillé, Sabatier,
Mayer, Bayot, Léger, Nicolle, Gale, Monthelier, Mialhe,
Bichebois, Nousveaux ; et lithographiées pour certaines
par Bouton, Bulton, de Laplante, Turpin de Crissé, Dumouza,
Muller, Joly, Lassalle, Arnault, Tirpenne, Vilmin
Chapitre "Carcassonne et Castelnaudary" : encadrements
dessinés par Chenavard, Dauzats, Johannot, Viollet-le-Duc,
Ledoux ; et lithographiés par Desmaisons, Weber, Marly,
Llanta, Asselineau. Vignettes par Dauzats et Villeneuve.
Chapitre "Narbonne" : encadrements par Danjoie, Viollet-le-Duc,
Feuchères, Marly, Challamel, Nanteuil, Ledoux, Seigneur,
Lehnert, Chenavart ; lithographiés pour certains par Asselineau,
Blanchard, David, Desmaisons. Vignette par Dauzats.
Chapitre "Roussillon" : encadrements par Adam, Viollet-le-Duc,
Marly, Challamel, Nanteuil, Perlet, Guermann, Lehnert, Fragonard,
Johannot, Weber ; lithographiés pour certains par Asselineau,
Courtin, Blanchard, Desmaisons, Llanta. Vignettes par Viollet-le-Duc,
Weber, Villeneuve, lithographiées par Blanchart, Asselineau,
Courtin.
Chapitre "Alet, Mirepoix, Pamiers, Foix, Muret, Valcabrère,
Saint-Bertrand-de-Comminges" : encadrements dessinés
par Fragonard, Viollet-le-Duc, Nanteuil, Challamel, Desmaisons,
Marly, Lehnert, Guermann, Perlet, Johannot, Weber, Chenavart,
Durand, Danjoie ; lithographiés pour certains par Blanchard,
Asselineau, Llanta, Monthelier.
Chapitre "Pyrénées" : tous les encadrements
et vignettes ont été dessinés par Viollet-le-Duc
et lithographiés par Asselineau et Blanchard, sauf pour
l'encadrement d'une page réalisé par Guermann.
Nombreuses rousseurs.
Tome II, partie II (Bas-Languedoc, Cévennes, Nîmes,
Saint-Gilles, Aigues-Mortes, Le Vivarais), 1837
Vignette de titre dessinée par Viollet-le-Duc et lithographiée
par Challamel, Faux titre par Chenavard, et 165 lithographies
sur Chine appliqué dessinées par Villeneuve, Monthelier,
Harding, Dauzats, Gale, Mayer, Jaime, Petit, Barnard, Laurens,
Taylor, Turpin de Crissé, Bourgeois, Boys, Questel, Chapuy,
Alaux, Périé, Ouvrié, Lenoir, de Bèze,
Lecamus, Rouargue ; et lithographiées pour certaines par
Haghe, Bayot, Joly, Guiaut, Bichebois, Gué, Walton, Lassalle,
Renoux, Sabatier, Dumouza, Asselineau, Bulton, Nicolle, d'Orschwiller,
Ollivier, de Laplante.
Chapitre "Bas Languedoc" : encadrements dessinés
par Viollet-le-Duc, Marly, Nanteuil, Challamel, Fragonard, Danjoie,
Desmaisons, Durand, Lehnert, Johannot, Weber, Dauzats, Questel
; et lithographiés pour certains par Asselineau, Blanchard,
Llanta. Vignettes par Danjoie, Viollet-le-Duc, Dauzats, Laurens,
Questel ; lithographiées pour certaines par Asselineau,
Guiaud, Haghe, Villeneuve, Dumouza, Blanchard.
Chapitre " Cévennes, Nîmes, Saint-Gilles, Aigues-Mortes"
: encadrements dessinés par Viollet-le-Duc, Marly, Questel,
Labrousse, Nanteuil, Challamel ; lithographiés pour certains
par Blanchard, Nicolle, Courtin, Asselineau, Dumouza. Vignettes
par Taylor, Viollet-le-Duc, et lithographiées par Courtin.
Chapitre "Le Vivarais" : encadrements dessinés
par Viollet-le-Duc, Marly, Questel, Laurens, Fragonard, Danjoie,
Dauzats, et lithographiés pour certains par Courtin, Nicolle,
Asselineau, Blanchard, Dumouza, Desmaisons, Boys, Petit. Vignettes
par Viollet-le-Duc, Dauzats, lithographiées par Asselineau,
Petit.
Belle litlographie tirée sur Chine 29 x 22 cm
planche N° 321. Mesure 43 CM X 31 CM
MONTBRUN . Vivarais Languedoc. Sabatler lith. 1833.
L. de Benard et Bichebois ainé. R. de l'Abbaye 4+
D'après le croquis de Lecamus
Fort bel ex.
sous marie Louise carton
vendu
OSON
Lithographie en couleurs du début XIXe
Vue du Pont d'Oson près de Tournon, département de l'Ardèche
Lithographie de C. de Last.
31cm x22 cm
peuille :27 cm x 37 cm
Bourgeois 1818
Superbe exemplaire
125 euros
Pont de l'Arc
Année 1835. Gravure en taille-douce
Pont de l'Arc (Ardèche - France)
Gravure originale en taille-douce sur acier dessinée par Dousseau. 1835
11,5 cm x 8 cm
vendu
Tournon
Gravure. Rouargue (vers 1840)
Rouargue, Émile (1795?-1865)
16 x 11,5cm. Gravures réhaussée en couleurs
mise sous marie-louise (30 cm x 24 cm)
50 euros.
Une petite lettre autographe
Melchior Marquis de Vogué
date novembre 1675
Melchior II de Vogüé (1639-1706), grand bailli du Vivarais, colonel de cavalerie, épouse le 10 novembre 1669 Gabrielle de Motier de Champetières. De cette union, naissent treize enfants, dont Cérice, le deuxième.
Les armes : "D'azur au coq d'or barbé, crêté et membré de gueules"
La famille a deux devises :
la plus ancienne : Fortitudine et Vigilancia (Courage et
Vigilance)
la plus "récente", inscrite sur un tableau
(visible au château) peint pour une certaine occasion et
représentant les armes de Vogüé entourées
de part et d'autre par des lions : les armes de la famille de
madame et que monsieur, pour montrer qui était le "patron"
malgré tout, a fait inscrire cette devise : Sola vel voce
leones terreo (J'effraie les lions d'un seul cri), qui depuis
est restée.
34 x 25 cm
marque de timbre à froid
Rousseurs, piqûres, petit manque
70 euros
René Adjémian, Expert en livres anciens.